Lucie Laurier est artiste depuis plus de 40 ans et a été partie prenante de certains des plus grands succès cinématographiques et télévisuels Québécois et Canadiens.
Tout débute sur la scène du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 1980 dans le Cercle de Craie Caucasien elle y joue l’enfant. Elle enchaîne avec des court-métrages et des publicités et débute sa carrière au cinéma à l’âge de neuf ans dans le film ”Le Vieillard Et L’Enfant” tenant le rôle titre aux côtés de Jean Duceppe.
L’année suivante elle devient membre officiel du Cirque du Soleil le temps de la tournée 85.
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Elle poursuit sa formation à l’École Nationale de Cirque de Montréal durant plus de 6 ans, mais n’abandonne pas pour autant le cinéma et dès 1987, elle décroche une nomination aux “Genie Awards” comme "Meilleure actrice dans un rôle de soutien" pour son interprétation de Sarah dans le film “Anne Trister”de Léa Pool.
Elle déploie aussi ses talents à la télévision dans les séries à succès “Les filles de Caleb" et "Chambres en ville".
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Elle aborde les années 90 avec le film coup de poing “Love-moi” de Marcel Simard. Le film remporte un prix spécial du jury à Namur pour le jeu de l’ensemble de ses acteurs.
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Elle est choriste pour le chanteur Jean Leloup sur la chanson "1990" et chante pour Bran Van 3000 sur l’album “Glee”.
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En 1995 elle présente le film “C’était le 12 du 12 et Chili avait les blues” de Charles Binamé au Festival de Sundance dans le Utah.
En 1997 elle remporte le "Prix de l’actrice la plus prometteuse" aux “Rendez-Vous du Cinéma Québécois” pour son rôle de Winnie dans “J’aime, J’aime Pas”de Sylvie Groulx.
Après quelques années vécues en Californie, elle revient en force dans les années 2000 en participant aux séries télévisées Virginie, Fortier, Les Invincibles, René Lévesque, Cauchemar d’amour, Le négociateur , Masters of Horror, etc…Et surtout dans certains des plus grands succès du Cinéma Québécois dont : "La Grande Séduction" film présenté au Festival de Cannes , Nitro ainsi que Bon Cop Bad cop.
Elle se retrouve en Nomination aux Prix Jutra en 2007 pour son interprétation de Suzie dans le film “Bon Cop Bad Cop” plus grand succès de tous les temps aux Box office Canadien.
Sa biographie est présentée sur Canal D depuis Décembre 2005.
En 2010, elle signe la mise en scène d’un spectacle intitulé “J’aimerais pouvoir rire” au Théâtre National de Chaillot à Paris. Cette création récoltera des critiques élogieuses partout où elle sera presentée, que ce soit en France, en Suisse, en Italie, en Espagne, en Belgique et ici même à l’usine C.
En 2013 elle se rend au Festival de Cannes où le film “Le Démantèlement” est applaudi alors qu’il est présenté dans le cadre de la Semaine de la critique.
En 2017 elle reprend son rôle de Suzie dans “Bon cop Bad cop 2” succès de l’été 2017 et joue ensuite dans les séries “Prémonitions” et “Clash”.
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Le 14 avril 2020, alors que le Québec est confiné depuis 1 mois à cause de l’état d’urgence sanitaire Covid 19, Lucie Laurier publie un vidéo de 9 minutes sur Facebook et Youtube intitulé: À qui accordons-nous notre confiance ?
Elle y exprime ses inquiétudes face aux dérives autoritaires du Gouvernement du Québec, met en doute l’intégrité de l’OMS, rappelle les scandales médico-politiques passés comme le sang contaminé, la thalidomide, parle du système immunitaire et exhorte les gens à faire leurs propres recherches sur les institutions. Le vidéo accumule plus de 300 000 vues sur Youtube, plus de 6000 partages sur Facebook en quelques heures.
À partir de ce moment, toute la presse Québécoise se déchaîne sur elle. Une destruction en règle de sa réputation est executée. Sa vidéo est retiré de Youtube, Isabelle Hachey du Le journal La Presse de la traite de “pitoyable” et de “Danger Public”, les journalistes demandent à ce qu’on lui retire le droit de parole.
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On l’associe à la schizophrénie, dit d’elle qu’elle est en psychose. L’agence qui la représentait se sépare d’elle.
Elle reçoit des menaces de mort.
Le 7 Octobre 2020 , le premier Ministre du Québec François Legault la diffame en pleine conférence de presse en affirmant qu’elle nie l’existence du virus.
